La bienvenue

Je vous donne la bienvenue à tous et à toutes et j´espère que ce blog vous permettra de pratiquer ce que vous avez appris et de rester en contact. Ça sera notre petite pause quotidienne afin d´améliorer votre français d´une façon plus détendue, alors on y va!

NI ( B2 )




En cette rentrée, la refondation de l’École que nous avons engagée pour redonner à l’École l’ambition et les moyens de faire réussir tous les élèves entre dans sa quatrième année.


Nous en voyons déjà les effets et nous en prolongeons la dynamique, toute entière dédiée à bâtir une École exigeante, qui fait réussir tous les élèves, une École plus juste, qui ne laisse aucun enfant aux bords du chemin, et une École qui transmet avec fierté et détermination à notre jeunesse les valeurs de la République.


Premier budget de la Nation, l’effort financier consacré à l’enseignement primaire et secondaire atteint cette année 65 milliards d’euros. Les créations d’emplois d’enseignants se poursuivent conformément à nos engagements : les moyens d’enseignement de l’école publique sont accrus de 5 061 postes enseignants nouveaux et 687 postes sont créés pour la vie de l’élève. 10 000 auxiliaires de vie scolaire supplémentaires accompagneront cette année les élèves en situation de handicap à prendre toute leur place à l’École.


Cette dynamique de recrutement et la nouvelle formation initiale des enseignants renforcent notre capacité à accompagner les élèves dans leurs apprentissages. En rendant aussi nos concours plus attractifs, elle garantit des recrutements de qualité.


L’ensemble de ces moyens sert notre ambition d’une École exigeante, qui fait acquérir à tous les élèves les connaissances et les compétences fondamentales. La maîtrise de la langue française comme des savoirs et compétences mathématiques sont inscrites au cœur des apprentissages. Elles seront à partir de cette année évaluées, au début de la classe de CE2, pour permettre à nos enseignants d’identifier les besoins et d’agir au bon moment.


Face aux défis de l’échec scolaire et de la dégradation de notre performance collective au cours des 10 dernières années, nous avons fait le choix de réformes pédagogiques en profondeur qui donnent la priorité à l’école primaire et aux premiers apprentissages.


Cette rentrée amplifie encore notre effort en ce sens. C’est la mise en œuvre du nouveau programme de l’école maternelle, l’accompagnement pédagogique renforcé des rythmes éducatifs ou encore l’amplification des dispositifs pédagogiques qui permettent d’accompagner les élèves au plus tôt, comme l’accueil des enfants de moins de trois ans (plus de 900 classes spécifiques nouvelles depuis 2012), et au plus près, avec 500 emplois supplémentaires pour le "plus de maîtres que de classes".


Favoriser des apprentissages plus progressifs, donner aux enseignants de nouveaux outils et plus d’autonomie pédagogique pour mieux répondre aux besoins de leurs élèves, c’est l’orientation que j’ai fixée pour la réforme des programmes, pour la généralisation des pratiques numériques à l’École et bien sûr pour la nouvelle organisation des enseignements au collège dont nous préparerons la mise en place concrète au cours de cette année. La mise en place de ces réformes essentielles s’appuiera sur un plan exceptionnel de formation et d’accompagnement des équipes.


Faire réussir tous les enfants, c’est faire le choix politique d’une École plus juste qui fonde son excellence sur la réussite du plus grand nombre, sans laisser pour compte un trop grand nombre de jeunes, mal formés et parfois même sans diplôme.


Nous approfondissons donc en cette rentrée les dispositifs volontaristes (dont la pertinence a été récemment saluée par l’OCDE) pour assurer plus d’égalité dans notre système éducatif et concentrer les moyens nouveaux sur les territoires et pour les publics qui en ont le plus besoin : 1 089 réseaux d’éducation prioritaire, dont 350 REP+, bénéficieront de nouveaux moyens et de nouveaux outils pour favoriser le travail en équipe, former les enseignants, attirer des personnels expérimentés et accompagnés. Au-delà les moyens alloués aux établissements scolaires sont enfin adaptés aux besoins réels de ces derniers, prenant en compte la concentration de difficultés sociales et y répondant par un surcroît d’encadrement. Les fonds sociaux sont accrus de 20% cette année pour répondre aux besoins des publics fragiles et nous engageons avec les collectivités territoriales volontaires une démarche spécifique favorisant la mixité sociale au collège.


L’École juste que je souhaite favorise l’orientation choisie pour faire des élèves des acteurs de leur avenir. Elle encourage la persévérance scolaire et la prévention du décrochage dans les établissements scolaires. Nous généralisons à cette rentrée le droit au retour en formation initiale.


Toutes ces réformes, l’École ne les conduira évidemment pas seule. Elle doit le faire davantage avec la confiance et l’appui des parents, dont la contribution à la réussite scolaire de leurs enfants est essentielle. Et elle le fera cette année en s’ouvrant davantage, pour mieux faire partager son ambition, pour bénéficier aussi, en particulier grâce à la nouvelle Réserve citoyenne de l’éducation nationale et à l’accueil de 5 000 jeunes en service civique, de la mobilisation de tous, associations, entreprises, acteurs de la société civile. Lors des évènements dramatiques de janvier, ils nous ont dit leurs attentes et leur espoir dans une École au cœur de la République.


Nous concrétiserons à la rentrée les mesures de la Grande mobilisation que j’ai engagée avec nos partenaires : le nouvel enseignement moral et civique concernera tous les élèves et s’inscrira dans un nouveau parcours citoyen construit, de l’école élémentaire à la terminale, pour faire connaître aux élèves les valeurs de la République, mieux lutter contre toutes les formes de discrimination ou de violences, et amener chacun d’entre eux à devenir un citoyen responsable et libre. Le sens et la portée du principe de la laïcité seront une priorité des apprentissages et chaque parent d’élève sera invité à signer la Charte de la laïcité à l’École.


Exigeante sur l’acquisition des savoirs fondamentaux, plus juste pour lutter contre les déterminismes qui minent l’idéal républicain, et fière d’être au cœur de la République. Voilà l’École que je veux construire pour nos enfants. 

Najat Vallaud-Belkacem,
ministre de l'Éducation nationale,
de l'Enseignement supérieur

et de la Recherche


consultez la vidéo : 









Direction générale de la concurrence, de la consommation
et de la répression des fraudes

 
Les soldes présentent des avantages pour les commerçants qui peuvent ainsi écouler rapidement leurs stocks et pour les consommateurs qui bénéficient de réductions de prix souvent intéressantes.Les soldes sont réglementés : une définition précise et une durée encadrée. Une nouveauté importante à compter du 1er janvier 2009 : le calendrier annuel est modifié et assoupli.
 Description: http://www.economie.gouv.fr/directions_services/dgccrf/imgs/picto/carre_violet.gifLa définition des soldes
Les soldes sont des ventes qui, d'une part, sont accompagnées ou précédées de publicité et sont annoncées comme tendant, par une réduction de prix, à l'écoulement accéléré de marchandises en stock et qui, d'autre part, ont lieu durant les périodes définies, pour l'année civile, comme suit :
- fixation de dates nationales pour les soldes d'hiver et d'été avec la possibilité de dérogation pour certaines zones touristiques ou frontalières, la durée maximale de chaque période de soldes étant ramenée à cinq semaines (les dates de soldes étaient fixées antérieurement au niveau de chaque département et la durée maximale de chaque période était de six semaines) ;
- création de deux semaines complémentaires de soldes choisies librement par les commerçants, qui sont tenus simplement de déclarer auprès du Préfet la période de deux semaines ou les deux périodes d'une semaine choisies chaque année ; les soldes complémentaires ne pourront cependant pas avoir lieu pendant le mois précédant les périodes de soldes d'été et d'hiver.
La modification de la définition des soldes a pour conséquence d'autoriser les commerçants à pratiquer des annonces de réduction de prix pour déstockage toute l'année. Ces opérations commerciales étaient auparavant qualifiables de soldes hors périodes et sanctionnables à ce titre.
En revanche, les produits annoncés comme soldés doivent toujours avoir été proposés à la vente et payés depuis au moins un mois à la date de début de la période de soldes considérée.

Description: http://www.economie.gouv.fr/directions_services/dgccrf/imgs/picto/carre_violet.gifQuelques précisions importantes
Les limitations de garanties sur les soldes sont illégales. Un article soldé bénéficie des mêmes garanties en matière de défauts de fabrication non apparents ou de service après-vente que tout autre article. En cas de vice caché, le vendeur est tenu de remplacer l'article ou de le rembourser. S'il n'y a pas de vice caché, le commerçant n'est pas tenu juridiquement de le faire, mais il peut le faire à titre commercial.
En tout état de cause, le commerçant est tenu d'appliquer toute disposition relative à l'échange ou au remboursement dont il fait la publicité, soit sous forme d'affichage dans le magasin, soit mentionnée sur les tickets de caisse ou sur d'autres supports ; sinon, il est passible du délit de publicité trompeuse.
Enfin, dans un magasin, la distinction entre les articles soldés et non soldés doit clairement apparaître aux yeux des consommateurs.




Descriptif du système éducatif

1. Population scolarisée et langue d'enseignement
En 2002-2003, la population scolarisée en France métropolitaine et dans les départements d’outremer (DOM) atteignait 14 940 900 élèves et étudiants – pour une population totale d’un peu plus de 60 millions d’habitants – se répartissant comme suit : 6 529 000 dans l’enseignement primaire (préélémentaire et élémentaire), 5 596 000 dans l’enseignement secondaire et 2 209 000 dans l’enseignement supérieur. La langue d'enseignement est le français. Les langues régionales sont enseignées dans le cadre des enseignements de langues vivantes.
2. Contrôles administratifs et importance de l'éducation financée par des fonds publics
En France, le système scolaire relève de la responsabilité du ministre chargé de l’Éducation nationale. Il existe un enseignement public gratuit, qui scolarise 86,5% des élèves dans le primaire et 79,9% dans le secondaire, et un enseignement privé, composé en très grande majorité d’établissements ayant passé un contrat avec l'Etat, en vertu duquel celui-ci prend en charge la rémunération des enseignants et aussi, le plus souvent, dans le cas d’un « contrat d’association », le fonctionnement de l'établissement.
Le ministère chargé de l'Education fixe de manière détaillée, matière par matière, les programmes d'enseignement à chaque niveau scolaire, et donne des orientations pédagogiques, sans toutefois imposer aux enseignants une méthode particulière. Il assure le recrutement, la formation et la gestion des personnels enseignants, fixe le statut et les règles de fonctionnement des établissements, leur attribue les postes nécessaires. Il organise les examens et délivre les diplômes nationaux, en particulier le baccalauréat qui sanctionne la fin des études secondaires.
3. Éducation pré-primaire
La France a une longue tradition d’enseignement préélémentaire. Il n’est pas obligatoire, et cependant tous les enfants fréquentent l’école maternelle dès l’âge de trois ans. A la rentrée 2002, 32% des enfants de 2 ans y étaient également inscrits. Les écoles préélémentaires ou « maternelles » publiques relèvent de la responsabilité du ministère chargé de l’Éducation nationale et sont gratuites. Dans les écoles privées, qui accueillent 1,5% des enfants, les parents règlent en partie les frais de scolarité. Les enseignants appartiennent au même corps (« professeur des écoles ») que ceux des écoles élémentaires. Ils sont formés au même niveau (baccalauréat + cinq années d'études supérieures) que les professeurs certifiés de l'enseignement secondaire.
4. Enseignement obligatoire
a) Phases
L'enseignement est obligatoire de 6 à 16 ans. Il comprend trois étapes :
- enseignement primaire : tous les élèves vont à l’école élémentaire de 6 à 11 ans ;
- enseignement secondaire inférieur : tous les élèves vont au collège de 11 à 15 ans ;
- enseignement secondaire supérieur : les élèves sont admis, en principe à l’âge de 15 ans, soit dans un lycée d'enseignement général et technologique, soit dans un lycée professionnel, afin de poursuivre leur scolarité en classe de seconde, au terme de laquelle ils atteignent l’âge de fin de scolarité obligatoire.
b) Critères d'admission
L'inscription des élèves dans l'enseignement public repose sur le principe de la sectorisation : les élèves sont normalement inscrits dans l'école primaire, le collège ou le lycée de la zone géographique où résident leurs parents : « secteur » pour le collège, « district » pour le lycée. L'enseignement public est gratuit. Les parents qui le souhaitent peuvent inscrire leur enfant dans l'enseignement privé : ils choisissent librement l'établissement, en fonction des places disponibles. Dans les établissements sous contrat, compte tenu du financement important de l'Etat, les frais de scolarité demeurent généralement peu élevés.
c) Durée de l'année scolaire jours/semaines
L'année scolaire comprend 180 jours répartis de septembre à juin. Les écoles sont ouvertes six jours par semaine, mais il n'y a pas de cours les mercredis et les samedis après-midi. Le nombre annuel minimal d'heures est de 846 dans le primaire et de 842 dans le secondaire inférieur.
d) Taille des classes/groupement des élèves
Il n'y a pas de taille recommandée pour les classes. La moyenne nationale avoisine les 25 élèves par classe dans le primaire, 24 au niveau du collège, 28 dans les lycées généraux et technologiques et 20 dans les lycées professionnels. Les élèves sont généralement groupés par âge. Les classes du primaire ont un seul enseignant pour toutes les matières; les classes du secondaire ont des enseignants distincts pour chaque matière.
e) Contrôle et contenu du programme
Le ministère chargé de l'Education nationale définit les programmes scolaires et fixe les objectifs d’acquisition des savoirs et des compétences par les élèves. Les enseignants choisissent les méthodes et les manuels scolaires. Le programme de l'école élémentaire privilégie les apprentissages fondamentaux : lecture, écriture, calcul, développement de la motricité et de la sensibilité.
f) Evaluation, progression et certification
Les enseignants évaluent de manière continue les élèves pendant toute la durée de l'enseignement primaire et secondaire. L’enseignement y est organisé en trois cycles pédagogiques :
- le cycle d’adaptation, constitué par la classe de 6ème ;
- le cycle central, qui comprend les classes de 5ème et de 4ème ;
- le cycle d’orientation qui correspond à la classe de 3ème .
Les élèves en grande difficulté scolaire et/ou sociale à la fin de l’école primaire sont accueillis, au sein des collèges, dans des sections d’enseignement général et professionnel adapté (SEGPA). Par ailleurs, dès la classe de 4ème, des dispositifs en alternance école-entreprise permettent aux élèves en difficulté une approche concrète du monde professionnel et la découverte des métiers. A la fin du collège, un diplôme national (le brevet) est délivré aux élèves en fonction des notes obtenues lors des deux dernières années de scolarité (classes de 4ème et de 3ème) ainsi qu'aux épreuves d'un examen national. Le brevet n'est pas obligatoire et la réussite à l’examen ne conditionne pas le passage au lycée.
5. Enseignement secondaire supérieur et post-secondaire
a) Types de formation
A la sortie du collège, trois voies sont proposées aux élèves :
- la voie générale, qui conduit en 3 ans (classes de seconde, première et terminale) au baccalauréat général;
- la voie technologique, qui conduit également en 3 ans au baccalauréat technologique;
- la voie professionnelle, qui conduit en 2 ans au certificat d'aptitude professionnelle (CAP) ou au brevet d'études professionnelles (BEP), puis, après 2 années supplémentaires, au baccalauréat professionnel.
Au lycée d’enseignement général et technologique, qui accueille les élèves ayant choisi les deux premières de ces voies, la scolarité est organisée sur trois ans : classes de 2nde, 1ère et terminale, et conduit à l’examen du baccalauréat. Ce n’est qu’à la fin de la classe de 2nde, dite de détermination et commune à tous les élèves, que ceux-ci choisissent leur série de baccalauréat : l’une des trois séries générales (économique et sociale, littéraire ou scientifique) ou l’une des sept séries technologiques. Le lycée professionnel prépare en deux ans au premier niveau de qualification professionnelle : certificat d’aptitude professionnelle (CAP) ou brevet d’études professionnelles (BEP). Ces diplômes sont conçus pour permettre un accès direct à l’emploi. Toutefois, les élèves qui le souhaitent peuvent ensuite préparer en deux ans (classes de 1ère et terminale professionnelles) un baccalauréat professionnel, dans l’une des 48 spécialités proposées.
b) Critères d'admission Voir ci-dessus, 4(b).
c) Contrôle et contenu du programme
A partir de l’enseignement secondaire supérieur, l’existence de voies et de séries nettement différenciées induit une certaine diversité des contenus, et surtout de grandes différences dans l’importance respective des disciplines, selon le choix de l’élève. Les matières fondamentales au cours de la première année des lycées généraux et technologiques (classe de seconde) sont : Français, Mathématiques, Physique-Chimie, Sciences de la vie et de la terre, Langue Vivante 1, Histoire-Géographie, Education physique et sportive, auxquelles s'ajoutent deux options obligatoires et une option facultative. En classes de première et terminale, la liste et l'importance des matières obligatoires varient selon les séries (3 générales, 7 technologiques). Les lycées professionnels dispensent à la fois un enseignement général et un enseignement professionnel théorique et pratique incluant des périodes de stage en entreprise. Le référentiel des diplômes professionnels délivrés par l’Education nationale (voir ci-dessous,d)) est toujours élaboré en partenariat avec le secteur économique concerné, au sein de commissions professionnelles consultatives (CPC).
d) Evaluation, progression et certification
Les élèves admis dans un lycée d’enseignement général et technologique sont évalués tout au long de la classe de seconde – dite seconde de détermination – au cours de laquelle ils choisissent la série du baccalauréat qui semble correspondre le mieux à leurs capacités et à leurs goûts. En fin d’année, le conseil des professeurs, tenant compte des résultat de ces évaluations, entérine ou infirme leur choix. Dans ce dernier cas, la famille peut faire appel. Le baccalauréat intervient au terme de la classe terminale, mais, dans certaines disciplines, les élèves passent les épreuves dès la fin de la classe de 1ère. Les lycées professionnels préparent à deux niveaux de qualification : le premier (niveau V), sanctionné par deux types de diplômes nationaux : le certificat d’aptitude professionnelle et le brevet d’études professionnelles ; le deuxième (niveau IV), sanctionné par le baccalauréat professionnel. La préparation de ces diplômes comporte toujours une période de stage en entreprise. Une procédure de validation des acquis professionnels permet, le cas échéant, aux candidats d’être dispensés d’une partie des épreuves. Le diplôme du baccalauréat, qu’il soit général, technologique ou professionnel, donne accès à l’enseignement supérieur. Toutefois, si les baccalauréats généraux et technologiques sont bien conçus pour une poursuite d'études, en revanche le baccalauréat professionnel l’est pour permettre un accès direct à l’emploi.
6. Enseignement supérieur
a) Types d'établissements
L’enseignement supérieur est dispensé dans les universités, toutes publiques à l’exception de cinq universités catholiques, ou dans des écoles supérieures, publiques ou privées, dont certaines sont appelées « grandes écoles ». Des instituts ou écoles peuvent être rattachés aux universités : instituts universitaires de technologie (IUT) dispensant des formations technologiques courtes ; instituts universitaires professionnalisés (IUP) pour la préparation de diplômes d’ingénieur ; instituts universitaires de formation des maîtres (IUFM) pour la préparation des concours de recrutement d’enseignants et la formation de ceux-ci, etc. Certains lycées participent à l'enseignement supérieur du fait de l'existence en leur sein de classes préparatoires aux grandes écoles (CPGE ou « prépas »), et de sections de techniciens supérieurs (STS) dispensant un enseignement technique court.
b) Accès
Les universités accueillent, sans pratiquer de sélection - sauf dans les disciplines médicales, odontologiques, pharmaceutiques et en institut universitaire de technologie - les titulaires d’un baccalauréat, d’un diplôme d’accès aux études universitaires (DAEU) ou encore d’un diplôme jugé équivalent. L’accès aux écoles supérieures les plus prestigieuses, couramment appelées « grandes écoles », se fait sur concours, préparé en deux ans dans les classes préparatoires aux grandes écoles (CPGE).
D’une manière générale, les établissements du secteur non universitaire, très diversifiés, ont en commun une sélection rigoureuse à l’entrée.
c) Qualifications
Les études universitaires longues étaient traditionnellement organisées en trois cycles d'études successifs sanctionnés par des diplômes nationaux : le diplôme d'études universitaires générales (DEUG), préparé en 2 ans (bac + 2); la licence (une année supplémentaire – bac +3), la maîtrise (encore une année supplémentaire, soit bac + 4), puis les diplômes de 3ème cycle, notamment le diplôme d'études supérieures spécialisées (DESS), le diplôme d'études approfondies (DEA) et le doctorat.
Mais depuis avril 2002, dans le cadre de la mise en oeuvre du « processus de Bologne » - la construction de l'espace européen de l'enseignement supérieur - un dispositif réglementaire a été publié pour que l'architecture de l'enseignement supérieur français s'articule peu à peu sur le système européen 3-5-8 (bac + 3, + 5, + 8) ou LMD (licence, master, doctorat). Dans cet esprit, le ministère chargé de l’enseignement supérieur incite les universités, au moment du renouvellement de leur contrat quadriennal, à organiser les études en semestres et en unités d’enseignement qui donnent lieu à l’obtention par l’étudiant de crédits, selon le système des ECTS. L’acquisition, normalement en trois ans, de 180 crédits permet d’obtenir la licence ; 300 crédits sont nécessaires – soit 120 au-delà du grade de licence, correspondant à deux années d’études supplémentaires – pour se voir attribuer le master. Il existe un master professionnel conçu pour le marché du travail, et un master recherche dont la préparation, à l’instar de celle du diplôme d’études approfondies, constitue la première phase des études doctorales, qui se poursuivent pendant trois ans jusqu’à l’obtention du doctorat.
Les formations technologiques supérieures courtes conduisent en 2 ans au diplôme universitaire de technologie (DUT) préparé en IUT ou au brevet de technicien supérieur (BTS) préparé dans les sections de techniciens supérieurs implantées dans certains lycées. Les écoles supérieures délivrent leur propre diplôme. Les écoles d’ingénieurs, publiques ou privées, délivrent un diplôme qui doit être reconnu par la commission des titres d’ingénieurs. Les écoles de commerce et de gestion délivrent un diplôme qui peut, dans certaines conditions, être reconnu par l’Etat
Pour en savoir plus : (Eurydice)

Vous pouvez voir ici un petit tableau qui fait la comparaison entre le système éducatif français et
 l´espagnol.
 

















Je vous invite à visiter l´université populaire de Caen à travers son site officiel.

Je vous conseille également de voir le film " Entre les murs " dont vous trouverez le sypnosis et la fiche tecnique  ici car ce film rend compte des difficultés réelles qui se présentent dans une salle de classe au quotidien.

Voilà la bande annonce: 






Au travail et à la maison, état des lieux de l'égalité hommes-femmes en France

A l'occasion de la journée internationale des femmes, Le Monde.fr fait le point sur les dernières statistiques et études sur l'état de la parité en France.



Pour en savoir plus cliquez ici






Le registre de langue, niveau de langue ou moins précisément style, est l’utilisation sélective mais cohérente des procédés d'une langue afin d’adapter l’expression à un auditoire particulier. Certains choix, notamment lexicaux et syntaxiques, un ton et une plus ou moins grande liberté par rapport à la norme linguistique de cette langue permettent d’ajuster la communication à une situation d’énonciation donnée : on s’exprime de façon différente selon que l’on s’adresse à un familier, à un inconnu, à un enfant, à un supérieur hiérarchique, et selon son âge, son milieu social, son niveau culturel.
Autrement dit, on ne parle pas toujours de la même façon et on adapte sa manière de s’exprimer aux circonstances. Cette adaptation se réalise avec plus ou moins de souplesse et de succès selon l’âge, l’expérience, l’instruction, le niveau professionnel et la diversité des milieux dans lesquels on évolue. Par ailleurs, certains choix, inacceptables à l’écrit, peuvent être tolérés à l’oral.

En français

Article détaillé : Registres de langue en français.
Il existe en français une gradation descendante entre trois principaux registres de langue :
  1. Registre soutenu : J'ignore ce qu'il est advenu.
  2. Registre courant : Je ne sais pas ce qu'il s'est passé.
  3. Registre familier : J'sais pas c'qu'y a eu.
Le registre soutenu est surtout employé à l’écrit, notamment dans la lettre officielle et dans le texte littéraire. Le vocabulaire est recherché et les règles prescrites par la grammaire normative sont parfaitement respectées.
Le registre courant est employé avec un interlocuteur que l’on ne connait pas intimement, avec lequel on a une certaine distance. Le vocabulaire est usuel et les règles prescrites par la grammaire normative sont habituellement respectées.
Le registre des jeunes est employé avec des proches, des intimes. Le vocabulaire est relâché, il peut être abrégé. Toutes les syllabes ne sont pas nécessairement prononcées. Les règles de la grammaire normative ne sont pas systématiquement respectées.

Voir aussi ce lien pour faire des exercices



Espagne : Où va le mouvement du 15 mai ?
Alors qu’il s’emblait s’essouffler, le mouvement des « indignés du 15 mai » qui a fleuri dans les grandes villes espagnoles, pourrait bien être reparti de plus belle : plusieurs centaines de personnes se sont ainsi rassemblées ces derniers jours à la Puerta del Sol, l’une des principales places de Madrid et le cœur de la contestation, pour protester contre l’évacuation musclée des « indignés » de Barcelone par la police à la veille de la finale de la Ligue des Champions.
Même si plusieurs responsables du mouvement s’accordent à dire que celui-ci ne pourra pas durer éternellement sous sa forme actuelle, ils promettent de lui donner une suite stable, non en formant un parti politique (forme d’organisation largement rejetée par des manifestants), mais par exemple en organisant des réunions le 15 de chaque mois. Les observateurs y voient en tout cas un mouvement unique dans l’histoire politique de l’Espagne depuis la transition démocratique. S’il se compose de personnes de tous âges, il attire surtout les jeunes, venus exprimer leur ras-le-bol face à une économie particulièrement discriminatoire à leur égard et un système politique dont ils estiment qu’ils ne les représentent plus. D’aucuns ont d’ailleurs rapidement qualifié le mouvement de « printemps ibère », par référence explicite aux révolutions arabes. Si la comparaison et probablement exagérée, il n’est cependant pas interdit de penser que ce mouvement social porté par la jeunesse pourrait présager d’une tendance politique et sociale importante dans plusieurs pays européens.
Source: http://www.eurosduvillage.eu/Espagne-Ou-va-le-mouvement-du-15,4901.html?lang=fr




Exemple d´interaction: cliquez ici .


Comment réconcilier l'efficacité scolaire et la... por larepubliquedesidees




 BAISSE DU NIVEAU SCOLAIRE

La France se situe en 18e position en termes de performance de ses élèves, loin derrière le peloton de tête, selon une étude de l'OCDE. Pire: l'école de la République serait particulièrement ""inégalitaire."""
Reste a savoir ce que l'on entend par inégalitaire quand d'entrer les mondialistes sont dans la négation de l'altérité des cultures et des civilisations... Déja quand on refuse de reconnaitre cela, faut pas s'attendre a résoudre les problèmes. La carte d'identité française n'atteste pas de l'adhésion a une culture, des valeurs, une histoire et des codes de socialisation.

Pour en savoir plus regardez cette vidéo 


LES MÉDIAS

« Les clés des médias » est un glossaire de mots et de notions essentielles pour appréhender les médias. Constitué de 25 programmes de 2 minutes, chaque épisode traite d’un thème différent, mis en scène dans l’univers quotidien des jeunes. L’écriture est un mélange de pédagogie et d’humour à partir d’un cas concret permettant une meilleure compréhension des médias. Où s’arrête la liberté d’expression ? Les médias disent-ils tous la même chose ? Qu’est-ce qu’une information ? Qu’est-ce qu’une donnée personnelle ?
Depuis les attentats de janvier 2015, France Télévisions et ses partenaires ont renforcé et multiplié les actions envers le jeune public. Dans la continuité de cette démarche, ce nouveau programme « Les clés des médias » s’inscrit dans un partenariat avec France Inter,
Enjeux-e-médias et Canopé, avec le soutien de la Direction du Numérique pour l’Education (Ministère de l’Éducation Nationale).

http://education.francetv.fr/matiere/education-aux-medias/cinquieme/article/les-cles-des-medias#xtor=EPR-191200-[ftveduction_-_event]-20160325-[Une